Un sommeil de glace – Dan Chartier

Voici un polar français qui se passe à la montagne, un polar montagnard en somme.

Marac est un enquêteur hors pair. Il est envoyé au pied d’un grand glacier pour retrouver un corps. Mais ce n’est pas un corps qu’il va falloir retrouver ni un meurtrier. Mais qu’est ce qui lie tous ces meurtres. Y a t-il vraiment au fond de ce glacier un corps préhistorique, qui serait alors une formidable avancée pour la recherche de cette époque. Les enjeux semblent dépasser Marac, mais il pourra se reposer sur l’aide inconditionnelle de sa femme et sa fille, et de ses coéquipiers.

L’auteur mélange les styles. Nous voilà tantôt au pied du glacier dans la peau de ce Marac, puis plus loin, un retour en arrière de plusieurs milliers d’années à découvrir comment vivaient les hommes de cette lointaine époque. Et les styles sont vraiment différents. Marac est un personnage qui use de métaphore à vous en dégoûter, c’est trop. Et l’auteur a bien étudié le sujet au point d’en étaler trop, et à la fin, c’est trop. Tandis que lorsque nous vivons plusieurs milliers d’années les péripéties d’un groupe d’hommes et de femmes, c’est plus simple, plus fluide aussi.

Les personnages sont des clichés ambulants, agrémenté d’un soupçon de fantastique, d’irréel, et nous voici avec un roman au coeur pas si croquant.

Malgré un style très fluide, et le défaut de ses phrases imagées, d’ailleurs autant faire de la bande dessinée, le récit est assez linéaire. Le roman est d’un niveau moyen, et le dénouement se devine bien avant le terme.

Cet auteur ne m’a pas convaincu.

Quatrième de couverture La vallée de Chamonix, avec ses sommets et ses glaciers, est le temple des alpinistes du monde entier, mais aussi un véritable symbole de la création du monde, avec son relief écrasant forgé depuis une centaine d’années. Un corps y est repéré au fond d’un glacier, un cadavre de femme vieux de quelques dix mille ans. Les deux glaciologues qui connaissent l’emplacement exact de la dépouille sont assassinés, de surcroît avec des armes préhistoriques. Un double tâche attend alors le Commissaire Marac : retrouver le corps et identifier le meurtrier. Son enquête va amener Marac à découvrir qu’au cours du mésolithique, des membres des principales tribus avaient coutume de se rassembler dans une grotte proche du Grand Glacier pour la Grande Initiation. Des événements de ce passé immémorial vont se mêler au présent. Plus étrange encore, une jeune médium pense pouvoir communiquer avec la disparue depuis l’au-delà pour lui livrer son nom. Il faudra toute l’intuition de Marac et l’efficacité de ses deux fidèles adjoints, Arcady et Dolores Scampana, pour venir à bout de cette obscure affaire.

Le Mousquetaire du Roy – Fabrice Cayla et Jean-Pierre Pécau

Voici une réédition d’une livre-jeu ou livre dont vous êtes le héros pour mieux comprendre quel est cet ouvrage même s’il ne fait pas partie de cette collection. C’est une Histoires à Jouer et à la différence de la série la plus connue, cette série française ne traite que d’Histoire avec un grand H. Dans ce livre vous incarnez donc un mousquetaire qui part dans une mission impossible. Eviter la guerre.

Grand habitué des livres de ce type, tout d’abord, les règles semblent plus complètes et laissent plus de champs libre au lecteur, ce qui est un plus. Le récit lui est assez « historique », pas de fantastique, de fantasy, de monstres en tout genre, rien de tout ça. C’est une aventure historique.

Certains combats à mener sont trop complexes et pénibles à mener et je doute que tous les lecteurs y prennent part sérieusement mais en arrivant à la fin du livre et en découvrant le potentiel que les auteurs veulent donner à la collection, on comprend mieux et finalement le livre n’est qu’une étape bien explicite vers le jeu de rôle.

Mais il y a des coquilles et malheureusement cela peut nuire à la lecture surtout si le joueur est un peu jeune.

Je ne connaissais pas cette collection qui n’est plus toute jeune et on ne peut qu’apprécier la réédition.

Je remercie Babelio et Posidonia pour ce partenariat.

Quatrième de couverture Paris, 1650. L’Europe sort de la guerre de Trente Ans. La France, l’Angleterre, l’Empire allemand, les Pays-Bas, tous ont dû subir les atrocités des guerres de religion. Une belle ambassadrice des Irlandais insurgés, retrouvée la gorge tranchée non loin du cimetière des Saints-Innocents, détenait une cassette contenant des secrets d’État qui a été volée par ses meurtriers. Mazarin fait appel au plus courageux de ses mousquetaires et le lance à la recherche des assassins. Ce mousquetaire, c’est vous. Et maintenant, le sort du royaume est entre vos mains.

Fallen Angel Lain 1. Les enfants d’apparitions – Fazia Salhi

Tout d’abord, merci à l’auteur pour la confiance en m’offrant son livre pour une avis. Mais surtout merci pour se prêter au jeu.

Ce roman est un roman de science-fiction dans un monde futuriste qui économiquement s’est effondré. Mais dans ce monde fait de désillusions, des chercheurs seraient tombé sur des formules permettant de faire des prouesses divines. Des enfants soumis à des expériences ont été éliminés mais quelques années plus tard, l’un de ces enfants, une jeune femme, réapparaît.

Même si l’idée est originale, je suis resté bloqué par quelques erreurs. Il y a des anachronismes dérangeants, comme l’utilisation du CD. Et puis le style est assez immature. Il y a beaucoup d’erreurs de conjugaison, parfois dans la même phrase. Le découpage des paragraphes est un peu bizarre, et le texte donne l’impression d’avoir été corrigé qu’à moitié. Il y a encore du travail, c’est sûr.

Enfin, le dénouement est décevant, le roman s’arrête dans l’action, mais sans donner l’envie de continuer. Il y a trop peu d’attente à la fin du roman.

Bref, c’est amateur, sans vouloir être péjoratif, écrire un roman demande beaucoup de travail, et là il manque la relecture, même plusieurs fois s’il le faut.

Quatrième de couverture Lain cherche son avenir. Stan cherche son passé. Année 2992. Heavendale est une ville oubliée du monde. Lain, une jeune femme, y arrive et espère oublier son passé en démarrant une nouvelle vie. Mais quand Stan Howard, un jeune homme habitant les lieux, la bouscule par mégarde un soir, tout change pour eux. Ils découvrent tous les deux qu’un lien étrange et très fort les relie. Des phénomènes insolites vont dès lors se produire dans leur environnement et des quantités d’obstacles se dresseront sur leur chemin. Lain sera confrontée aux énigmes qui régissent sa propre existence. Petit à petit, à la suite de multiples aventures, le voile se lèvera, et son ami Stan apprendra avec stupéfaction ce qui est caché derrière l’objet de ses recherches, à savoir la mort de sa propre mère.

 

Entretien avec un vampire – Anne Rice

Premier roman de la saga des vampires de Anne Rice, roman d’ailleurs qui aura fait l’objet d’une adaptation cinématographique. Le roman est paru dans les années 80 et plusieurs romans plus tard la mode est lancée. D’abord les jeux de rôles, puis le cinéma et plus récemment, beaucoup de romans, de nouvelles, de séries et encore des films. Mais c’est Anne Rice qui propose le vampire que nous nous imaginons tous aujourd’hui.

Nous sommes avec Louis dans une chambre d’hôtel miteuse, accompagné d’un journaliste qui va enregistré le récit de ce personnage qui se prétend être un vampire né il y a trois cent ans. Louis est né en Louisiane. Il a un domaine, des esclaves. Il raconte alors sa vie de l’époque et son passage dans le monde des immortels grâce ou à cause de Lestat, un français qui lui donne le baiser de la mort avant de le ressusciter.

Louis est un vampire avec des sentiments complexes, et le roman est une tragédie humaine dans lequel la passion dans le sens noble du terme est omniprésente. Cette passion dévorante, qui se vit à chaque fois jusqu’à ce qu’une nouvelle passion prenne le dessus et vous dévore à nouveau.

Louis est le personnage par lequel l’auteur va nous faire vivre le quotidien d’un vampire. Pour ma part ce n’est pas mon personnage préféré. J’ai une attirance pour d’autres personnages plus complexes, comme Claudia, tellement imprévisible.

Le style est un mélange de langage soutenu, de poésie et de plus léger, l’ensemble est harmonieux et se lit très facilement et même si le roman est un peu long, vous arriverez rapidement jusqu’au dénouement.

C’est un long monologue assez frustrant puisque nous aurons qu’un seul point de vue, mais Louis passe en revue presque toute sa vie. Un monologue très sentimental.

Ce n’est pas le meilleur de la saga, mais il installe malgré tout les éléments nécessaires pour continuer.

Quelqu’un à qui parler – Cyril Massarotto

Samuel est seul le soir de son anniversaire. Il n’a pas de femme, encore moins d’enfants, pas d’amis. Son métier l’ennuie et son patron est un psychopathe. Ce soir là il boit, il appelle son ex, son ex de dix ans qui a refait sa vie. Puis il se remémore des instants de sa jeunesse, et comme ça il numérote un vieux numéro de téléphone, celui de maison de quand il était petit. Un enfant répond, il s’appelle aussi Samuel.

Le récit c’est le face à face d’un petit garçon plein d’enthousiasme et d’un adulte dépassé par la vie, anesthésié par son propre quotidien. Un petit plein de rêve face à un adulte ensuqué. C’est un homme seul qui au plus profond de lui-même refait surgir l’état d’esprit dans lequel il était à dix ans pour faire un bilan sur sa vie, ses choix.

L’auteur a un style d’une grande fluidité. Pour avoir déjà plusieurs de ses romans, il y a un travail qui malgré une histoire un peu pauvre, vous pousse à avancer. C’est léger et très fluide. Le roman se lit avec une grande facilité, c’est presque simple de lire cet auteur.

Mais ce style ne suffit pas, le récit est pauvre comme déjà dit plus haut. C’est mielleux, et tout est bien qui finit bien, c’est même agaçant.

C’est le premier roman de cet auteur qui me déçoit. Dommage…

Quatrième de couverture Samuel fête ses trente-cinq ans, seul face à des assiettes vides. La déprime est proche. Il attrape alors son téléphone mais réalise qu’il n’a personne à qui parler. Soudain, un numéro lui revient en mémoire : celui de son enfance et de la maison du bonheur familial depuis trop longtemps disparu.

Tiens, et s’il appelait ? À sa grande surprise, quelqu’un décroche. Et pas n’importe qui : c’est à lui-même, âgé de dix ans, qu’il est en train de parler ! Mais que dire à l’enfant que l’on était vingt-cinq ans plus tôt ?

Finalement, chaque soir, à travers ce téléphone, Samuel va s’interroger : l’enfant que j’étais serait-il fier de ma vie ? Aurait-il vraiment envie de devenir l’adulte que je suis aujourd’hui ? Ne l’ai-je pas trahi en renonçant à mes rêves ?

Grâce à ce dialogue inattendu et inespéré, Samuel va, peu à peu, devenir acteur de sa vie. Et avancer, enfin !

Le Monde de Milo tome 1 – Marazano et Ferreira

Milo est un jeune garçon qui vit seul dans une maison au bord du lac. Son père est loin de lui et lui écrit mais il a trois vieilles tantes qui s’occupent de lui, elles habitent le village, et descendent lui apporter des gâteaux et de quoi manger. Mais Milo découvre un poisson d’or qu’un homme crapaud recherche. Et là, l’aventure débute.

L’histoire est bien construite et se lit avec plaisir, bien que destiné plus à des adolescents, le récit est plutôt entraînant, bien ryhtmé.

Graphiquement, c’est un très beau album. Les personnages comme les décors sont travaillés, mais surtout, c’est les couleurs qui sont belles.

C’est un très bon album, qui mérite que la suite soit lue.

Quatrième de couverture Le Monde de Milo se situe tout près de cette maison au bord du lac, dans laquelle il est si souvent seul. Un jour, il trouve un magnifique poisson d’or, et sa vie bascule ! Car après le merveilleux poisson, c’est un homme à tête de crapaud, puis un autre à tête d’aigle qui apparaissent, bientôt suivis par une jeune fille prisonnière. Milo découvre que, de l’autre côté du lac, existe un monde fantastique dans lequel une bataille entre le Bien et le Mal fait rage. Il comprend surtout qu’il n’est pas impliqué dans cette histoire par hasard…

Kaamelott 1. L’armée du nécromant – Astier et Dupré

Ce premier tome de Kaamelott est la première aventure en bande dessinée et l’adaptation de la série télévisée. Au fil des pages, nous retrouvons l’esprit de la série, mais le support de la bande dessinée n’arrive pas malgré tout plus de profondeurs. En revanche, le récit est plutôt bien construit et les personnages bien représentés.

Le graphisme est à la hauteur, c’est bien réalisé. Il manque quand même l’intonation, la voix des personnages pour s’imprégner et s’immerger à 100%. Au final, cette bande dessinée est plutôt sympa, c’est pas transcendant, mais ça reste bien.

Quatrième de couverture Retrouvez le Roi Arthur et les Chevaliers de Kaamelott aux prises avec une terrible armée de morts-vivants.

Lestat le vampire – Anne Rice

Voici le roman fantastique par excellence. Celui qui aura fait du vampire de Bram Stocker un vampire contemporain, celui qui aura propulsé la mode du vampire jusqu’à son apogée et le décline sous toutes ses formes à l’écrit comme sur l’écran.

Lestat est français, issu du famille noble désargenté. Il devient un vampire et découvre le monde de son époque. Différent des autres, parce que Lestat est un être de son temps, il remet en cause ce qu’il entend, ne crois que ce qu’il voit et émet toujours des doutes malgré tout. Et bien qu’il soit assez rustre il garde malgré tout un côté très artistique au fonds de lui. Le monde nouveau l’attire, lui plaît.

Le style d’Anne Rice est un mélange de contemporain et de classique. L’écriture est fluide et se lit avec fluidité, se découvre avec beaucoup de plaisir. En revanche, ce qui m’a déplu, c’est la masse du livre. Il est dense et aurait pu être scindé en deux tomes facilement.

Le récit est bien construit avec un plan bien cadré et des parties au niveau de l’intérêt assez inégal, ce qui donc m’a paru parfois un peu long ou qui n’apporte rien de plus à l’histoire.

Le personnage de Lestat est un personnage complexe, intéressant, mais presque trop cliché. Cliché parce que le sentiment qui ressort de cette lecture est différent si le roman est lu avant ou après cette vague de romans, séries et films. Malgré tout il pose des bases pour les autres romans qui suivent et les personnages qu’il rencontre dans celui-ci.

Un très bon roman, un classique du genre.

Quatrième de couverture Lestat le vampire s’est réveillé de sa léthargie. Le climat dionysiaque qui règne sur le monde l’a rappelé à la vie, exaltant sa soif de sang, de gloire et d’outrance. Vampire impie, Lestat est décidé à outrepasser toutes les limites.
Star du rock, gothique et sensuel, auteur d’une autobiographie scandaleuse, Lestat affiche et revendique sa nature vampirique. Il en joue, séduit et fascine.
Voici son histoire, voici comment Lestat, dandy impénitent, scandalisa jusqu’à ceux de son espèce…

Colonisation 1. Les naufragés de l’espace – Filippi et Cucca

OUF C’est pas souvent que je lis un bon space opera en bande dessinée. A part Star Wars et encore, il n’y en a pas d’un bon niveau. Tout débute dans une galaxie lointaine… Une équipe est en mission pour récupérer les premières missions de colonisation lancée un peu sauvagement. Lancée il y a plusieurs décennies, les vaisseaux sont devenus des épaves et les habitants reposent dans un rêve cryogénisé.

Mais pour leur première mission, les jeunes recrues vont devoir affronter aussi des écumeurs qui pillent ces vaisseaux avant de les détruire.

Pourquoi les volent-ils et surtout comment va réagir l’homme qu’ils ont récupéré sur ce vaisseau en perdition après des décennies d’une vie heureuse dans une matrice.

Graphiquement, les décors sont sublimes, les personnages sont plutôt bien travaillés, et j’ai plutôt bien aimé les scènes d’actions. Une bande dessinée bien réalisée.

Ce scénario regroupe tous les ingrédients pour faire un bon space opera, de l’action, une enquête, des rebondissements, et surtout un bon dénouement qui laisse la place à une suite.

Quatrième de couverture Le futur. Pour faire face à une surpopulation devenue ingérable, l’humanité envoie une multitude de vaisseaux spatiaux à travers la galaxie. À leurs bords, des équipages de colons ayant pour but de permettre à l’homme de survivre, ailleurs. Quelque temps après le lancement de cet exode, une civilisation extraterrestre se manifeste : les Atils. Pacifistes et bienveillants, ils partagent avec les humains leur technologie de déplacement bien plus avancée et leur permettent de s’implanter avec eux sur une quantité d’autres mondes. Beaucoup des premières nefs demeurent alors introuvables, perdues dans l’immensité de l’espace.

Le temps passant, la cohabitation avec les Atils s’avère ne pas être du goût de tous. Certains représentants des deux peuples finissent par se rassembler, allant jusqu’à essayer de capturer les nefs des premiers colons échouées dans l’univers pour vendre leur contenu à prix d’or sur le marché noir. On les appelle les Écumeurs.

C’est pour retrouver les nefs des premiers colons et s’opposer à ces extrémistes d’un nouveau genre que l’Agence forme ses unités d’élite dans laquelle Milla Aygon s’est engagée. Mais lorsqu’elle et son équipe secourent l’officier Clarence Sternis, colon de première génération, aucun d’entre eux n’imagine que leur mission pourrait bien faire basculer le destin de deux civilisations…

Les Maîtres Inquisiteurs 1. Obeyron – Peru et Goux

Un univers fantasy, un peu comme les sagas Elfes, Nains…, dans lequel des inquisiteurs sont les enquêteurs pour lesquels tout leur est permis pour arriver à mener la justice. Ce qui forcément dans un monde violent, fait d’un certain inquisiteur, Obeyron, un homme violent qui use de la violence et de son intelligence pour mener la justice. Mais Obeyron gêne. Ses ennemis fomentent et le laisse pour mort dans une forêt sombre. Plusieurs années après, il revient et enquête. Il va retrouver ses meurtriers.

Avec un scénario assez bien mené malgré tout, merci la magie qui permet de se sortir des impasses, le personnage est plutôt bien dépeint. Nous en arrivons même à ne pas l’aimer tellement il est obsédé par son travail.

Avec des graphismes magnifique, des personnages détaillées, et des monstres effrayants, cette série qui commence ici a de beaux jours devant elle, mais personnellement, je vais me contenter de ce premier tome. Le personnage ne m’a pas plu et je ne vais pas investir dans une série qui débute sur un personnage qui me rebute.

Quatrième de couverture Obeyron ! Le pire Maître-Inquisiteur que le monde ait porté … aux dires de ses ennemis. Ainsi que de ses amis. S’il est une chose qu’a réussi le mage dans la grande guerre qui a ravagé le monde d’Oscitan, c’est provoquer la haine, la méfiance, la peur, le mépris, la discorde et beaucoup d’autre nobles sentiments. Devenu Maître-Inquisiteur après le conflit afin de lutter contre le crime, Obeyron n’obéit qu’à une seule maîtresse, la justice. Jusqu’à sa dernière mission dans la lointaine forêt des Soupirs, où on l’a piégé et laissé pour mort. Seulement, voilà, on ne tue pas un Inquisiteur si aisément. Et Obeyron est bien décidé à enquêter sur sa propre mort…