Dans ce cinquième épisode des annales du Disque-Monde, le huitième fils d’un huitième fils devient le sourcellier malgré lui, un petit garçon qui tient dans ses petites mains un bourdon puissant, puissant au point que la magie devient réelle. Fini les goûters arrosés, et les ronflements paisibles dans les couloirs de l’université. Que vient faire alors ce petit garçon qui a le don de vous agacer en arrivant avec ses petits mains tenant un bourdon, qui lorsqu’il vous regarde, donne l’étrange sensation de voir juste derrière vous.
La magie est chamboulée. Mais Rincevent est toujours là, il a un peu vieilli, mais lui seul, accompagné de la fille de Cohen, et de Nijel un héros débutant, peut sauver le monde.
Truffé de pépites, ce cinquième roman, bien que je l’ai trouvé un poil en dessous du niveau reste malgré tout un plaisir de lecture dans cet univers comique, héroïque et fantastique. Beaucoup d’humour et puis beaucoup de plaisir à retrouver des personnages.
A suivre bien sûr pour ces moments de lecture à l’humour qui décape.
Quatrième de couverture La magie, c’est de la bouillie pour les chats. Voici la sourcellerie, la puissance thaumaturgique de l’Aube des Temps ! Elle pénètre le Disque-Monde par l’entremise du huitième fils d’un mage (défroqué, oui !).
Disons-le tout net : casse-cou.
Faudra-t-il compter sur Rincevent pour sauver les meubles ? Il a plus d’un tour dans son sac percé. Il a aussi une équipe de choc, avec le pusillanime Bagage – tellement humain ! – et le subtil bibliothécaire de l’Université des mages – tellement simiesque ! Avec Nijel le Destructeur, jeune héros par correspondance, et Conina, la fille du plus célèbre Barbare, par qui tombent les cœurs et les coups.