Un univers fantasy, un peu comme les sagas Elfes, Nains…, dans lequel des inquisiteurs sont les enquêteurs pour lesquels tout leur est permis pour arriver à mener la justice. Ce qui forcément dans un monde violent, fait d’un certain inquisiteur, Obeyron, un homme violent qui use de la violence et de son intelligence pour mener la justice. Mais Obeyron gêne. Ses ennemis fomentent et le laisse pour mort dans une forêt sombre. Plusieurs années après, il revient et enquête. Il va retrouver ses meurtriers.

Avec un scénario assez bien mené malgré tout, merci la magie qui permet de se sortir des impasses, le personnage est plutôt bien dépeint. Nous en arrivons même à ne pas l’aimer tellement il est obsédé par son travail.

Avec des graphismes magnifique, des personnages détaillées, et des monstres effrayants, cette série qui commence ici a de beaux jours devant elle, mais personnellement, je vais me contenter de ce premier tome. Le personnage ne m’a pas plu et je ne vais pas investir dans une série qui débute sur un personnage qui me rebute.

Quatrième de couverture Obeyron ! Le pire Maître-Inquisiteur que le monde ait porté … aux dires de ses ennemis. Ainsi que de ses amis. S’il est une chose qu’a réussi le mage dans la grande guerre qui a ravagé le monde d’Oscitan, c’est provoquer la haine, la méfiance, la peur, le mépris, la discorde et beaucoup d’autre nobles sentiments. Devenu Maître-Inquisiteur après le conflit afin de lutter contre le crime, Obeyron n’obéit qu’à une seule maîtresse, la justice. Jusqu’à sa dernière mission dans la lointaine forêt des Soupirs, où on l’a piégé et laissé pour mort. Seulement, voilà, on ne tue pas un Inquisiteur si aisément. Et Obeyron est bien décidé à enquêter sur sa propre mort…

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.