Sang complications – Patrick Delouvée

Tout d’abord, merci à l’auteur pour m’avoir envoyé un exemplaire de son nouveau roman.

Le roman est un thriller qui se déroule à Paris. Un quadragénaire, avocat, en mal de sensations, qui s’ennuie auprès de sa femme, cherche l’excitation auprès de femmes mariées. Mais lors d’une rencontre il se retrouve dans un traquenard. Il est accusé d’un meurtre, tout semble l’accuser, mais lui seul sait qu’il est innocent.

Le récit est construit sur la même base qu’un roman Harlequin, Harlequin le champion de l’amour. Les clichés se succèdent les uns après les autres et parfois sont affligeants. Croisez la secrétaire de l’avocat et vous comprendrez. Blonde, pulpeuse, efficace, intelligente mais pas trop, presque un peu cruche, et au cœur d’artichaut.

L’histoire est assez linéaire, le personnage est agaçant, toujours à se justifier de ses actes. Il va faire cocu sa femme, il faut assumer, et pas se trouver des excuses.

Je suis resté sur une impression d’un roman très misogyne, abrutissant de niaiseries. Je n’ai pas aimé, mais pas du tout.

Quatrième de couverture Une relation sans complications ? Rien de plus simple ! Il suffit de s’inscrire sur un site de rencontres, réservé aux femmes mariées désireuses de s’évader du quotidien ! C’est ce que croyait Antoine, avocat de 42 ans, dont le couple bat de l’aile, après 15 ans de mariage, mais qui n’envisage pas de divorcer, histoire de préserver les enfants. Mais quand le premier rendez-vous tourne mal, Antoine réalise qu’il s’est fait piéger, et sa vie confortable et bien réglée bascule… Tout est remis en question, sa profession, sa vie familiale, sa vie tout court et celle de ses proches ! Comment sortir d’un traquenard aussi bien monté ?

Risque Zéro – Olga Lossky

Risque Zéro est un roman dans le même genre que la série Black Mirror. Je m’explique. Dans un futur proche, une société du nom de Providence propose à ses adhérents une puce sous-cutanée qui permet de relever tous les indicateurs nécessaires pour vous conseiller et vous pousser à systématiquement être dans une santé optimale. Mais l’épouse d’un des concepteurs travaille toujours dans un hôpital à l’ancienne avec des patients n’ayant pas les moyens de s’équiper de ce service. Mais une patiente équipée meurt dans l’hôpital. Le roman traite alors la différence de traitement entre les patients, le risque limité pour les patients, mais aussi pour les docteurs et chirurgiens qui ne se fient qu’à des chiffres et non à l’intuition, qui perdent ce rapport humain au bénéfice de données « fiables ».

Je ne classerai pas ce roman dans les polars mais plutôt dans un thriller dans lequel un couple aux idées assez opposées se trouvent au centre d’un scandale. Le choix cornélien s’impose de lui-même, qui doit-on favoriser : le mari et la technologie, la femme et la relation sociale, humaine avec les patients. Avec des personnages un peu caricaturaux dans leur mode de pensée, on suit l’histoire avec une envie toujours renouvelée pour découvrir comment dans le chapitre suivant le problème posé sera résolu. Ce mélange de nouvelles technologiques de philosophie de la vie est une approche assez réussie de l’auteur qui pose ici les jalons pour se poser les bonnes questions de l’avenir qui nous attend, de celui que nous voulons et de celui que nous aurons.

C’est dans l’ensemble un roman intéressant et l’auteur aurait pu approfondir certains thèmes abordés, avec un travail plus profond sur les personnages, le roman serait devenu un très bon roman de thriller visionnaire.

Je remercie Lecteurs.com et Denoël pour cette lecture dans le cadre du Cercle Livresque.

Quatrième de couverture Au milieu du XXIe siècle, Providence a révolutionné le suivi médical grâce à la « plume d’ange », une puce sous-cutanée qui contrôle la santé et l’environnement de ses adhérents en temps réel. Son objectif : le risque zéro. Agnès Carmini vit dans ce monde millimétré, où repas et temps de sommeil sont dictés par les logiciels. Victorien, son mari, a beau être l’un des concepteurs du projet, elle ne parvient pas à se satisfaire pleinement de ce système, dont la régularité apaise pourtant ses angoisses. Agnès continue d’exercer comme anesthésiste à l’hôpital public, un des derniers bastions à refuser la médecine numérique, et se ressource dans la hutte en paille de ses grands-parents, qui ont choisi un mode de vie autarcique. Tout bascule le jour où une adhérente Providence meurt au bloc. Agnès est accusée de négligence tandis que l’opinion publique s’émeut. Le risque zéro ne serait-il qu’un mythe ou, pire, un simple argument de vente ? Que fait donc l’épouse d’un dirigeant de Providence dans ce service de médecine traditionnelle, loin des innovations prônées par la prestigieuse entreprise ? La tornade médiatique va contraindre Agnès à faire voler en éclats les contours de son existence programmée.

Avec tes yeux – Sire Cédric

Thomas commence à avoir des insomnies, puis pour se soigner, alors qu’il a tout tenté, il se rend chez un hypnotiseur. Mais la séance tourne mal. Les visions commencent et elles sont horribles. Il découvre rapidement que ces visions, si réalistes, se déroulent ou se sont déroulés, car leur réalisme est frappant. Il se rend sur les lieux du drame au moment où la gendarmerie arrive.
Le roman mêle une enquête dans laquelle Thomas va tout essayer pour prouver son innocence en retrouvant le vrai meurtrier, mais aussi du paranormal par les visions que Thomas semble avoir du vrai tueur. Le récit est asse bien construit et tient le lecteur du début jusqu’au dénouement, qui se laisse deviner malheureusement bien avant les dernières pages. Même la dernière phrase est plus que prévisible au point que c’en est risible. Le style est fluide, et l’écriture aide à faire passer les quelques centaines de pages avec une déconcertante facilité. Il écrit bien, et même très bien, ou du moins, c’est très abordable sans tomber dans un style abrutissant.
Mais, parce que je ne m’arrêterais pas à ça, je reconnais dans son récit des romans américains des années 80 d’auteurs connus dans ce style du polar/thriller fantastique. Et la similitude est même flagrante, alors forcément c’est pas en France, dans la campagne à quelques encablures de la capitale, mais l’inspiration est là. C’est un mauvais point qui font de ce roman finalement un roman moyen.

Quatrième de couverture Depuis quelque temps, Thomas n’arrive plus à dormir. D’épouvantables rêves le réveillent en sursaut et l’empêchent de se rendormir. Et si ce n’était que ça ! Après une séance d’hypnose destinée à régler ses problèmes d’insomnie, il devient la proie d’étranges visions. Par les yeux d’un autre, il se voit torturant une jeune femme… Persuadé qu’un meurtre est effectivement en train de se produire, il part à la recherche de la victime. Le cauchemar de Thomas ne fait que commencer.

Le programme D-X – David Khara

L’ancien agent du Mossad Eytan Morg, reclus au large de l’Irlande depuis quatre ans, doit sortir de sa retraite quand l’homme à la tête du Consortium, une organisation criminelle qui préside en secret aux destinées de l’humanité, exige de lui parler avant de mourir.
Aux États-Unis, le jeune flic Andy Irvine est confronté à un meurtre barbare : une infirmière est retrouvée pendue dans un entrepôt, le corps calciné. Mais ce meurtre n’est peut-être pas isolé… Tueur en série fétichiste? Opération du Consortium? Seul Eytan pourra le découvrir, mais le temps lui est compté.

Pour l’anecdote, David Khara, je l’ai découvert dès son premier roman, un roman fantastique édité par Rivière blanche, et que je vous conseille vivement de découvrir. Puis Le projet Bleiberg est arrivé, une bombe. J’ai adoré, les exemplaires que j’ai sont dédicacés. L’auteur est d’une grande gentillesse, généreux. Je reçois un jour un album de bande dessinée, l’Oiseau du Temps, dédicacé par le scénariste, parce que pendant un salon, ils étaient installés côte à côte. Voilà ce qu’il est.
Mais, il faut un mais, toujours, sinon c’est pas marrant, je dis donc, mais, ce roman m’a déçu. La barre était haute pour arriver au niveau du Projet Bleiberg. Le récit ne m’a pas pris aux tripes. J’ai trouvé les personnages moins… plus lisse. Ce roman est un roman que je qualifierais de commercial. Je ne dis pas qu’il est mauvais, loin de là, mais j’ai l’impression d’avoir lu un roman d’un écrivain habitué au succès, écrivant son roman annuel, utilisant une trame toute bien faite, bien ficelée, mêlant action, sentiment… Je n’ai pas été transporté comme dans les précédents romans. Autant ses tous premiers romans, le récit est spontané, l’auteur écrivait dans le train entre deux rendez-vous alors qu’il avait encore un boulot comme tout un chacun. Mais celui-ci, c’est du roman écrit tranquillement, lu et relu, pour faire glisser l’histoire sans accroc, pour ne pas choquer, avoir le temps d’y inclure deux trois bonnes pensées (Andy et son petit copain, ça touche un public différent…). Rien à voir avec la passion flamboyante des premiers instants.
Je n’ai pas accroché malheureusement. Alors déçu, oui, par l’auteur qui m’avait fait rêver, par le roman, moyennement, parce que ce n’est pas mauvais, mais juste moyen. C’est fluide, le roman se lit facilement, tous les ingrédients sont là pour faire un bon scénario, un téléfilm passionnant, un triptyque formaté, parfait.
Je remercie Babelio et J’ai lu pour ce partenariat.

Quelque part avant l’enfer – Niko Tackian

Une matinée comme les autres. Après avoir déposé son fils à l’école, Anna s’engage sur le boulevard sans remarquer le semi-remorque lancé à pleine vitesse. C’est le choc. Le tunnel. La musique des sphères. Mais, au seuil de la lumière, une silhouette s’interpose. Un homme, petit et barbu, la prévient :  » Je vais te tuer.  » 
Miraculeusement revenue d’entre les morts, Anna reprend ses marques, peu à peu. Or une présence semble partout suivre ses pas, semant dans Paris des cadavres de femmes. Il l’a prévenue : elle sera la dernière… 

Anna a un accident grave et vit une expérience particulière. Dans le même temps, un tueur en série sévit dans Paris et tue des prostituées. Tout est lié, mais de quelles manières. Le récit est assez linéaire et très prévisible. Le dénouement se dessine très longtemps avant la fin du roman gâchant le plaisir de la lecture. Les personnages sont assez superficiels et presque caricaturaux. L’écriture est aisée mais trop facile. L’auteur a tendance à rajouter des adjectifs inutiles pour faire des pages et le style ressemble aux auteurs de romans de plage. Grosse déception sur cette lecture. Le thème des expérience de mort imminente est abordée mais sans plus uniquement pour avoir une trame de fonds légère. Il aurait été préférable un peu plus de profondeur dans la recherche pour nous apprendre un peu plus. Le sujet est abordé très superficiellement et pas suffisamment pour nous donner envie de continuer à se renseigner. Dommage…

Papillon de nuit – R.J. Ellory

Assassinat de Kennedy, guerre du Vietnam, luttes pour les droits civiques, Ku Klux Klan : c’est dans cette Amérique en crise des sixties que Daniel Ford a grandi. Et c’est là, en Caroline du Sud, qu’il a été accusé d’avoir tué Nathan Verney, son meilleur ami.
1982. Daniel est dans le couloir de la mort. Peu de temps avant son exécution, un prêtre vient recueillir ses dernières confessions. Bien vite, il apparaît que les choses sont loin d’être aussi simples qu’elles en ont l’air.

Ce premier roman de l’auteur à succès R.J. Ellory se déroule dans l’Amérique des années 50 à 80. Nous sommes auprès de Daniel, dans le couloir de la mort, condamné pour le meurtre de Nathan, et se remémore sa vie, les bons moments comme les mauvais. L’histoire est prenant puisque le personnage nous raconte sa propre histoire mais aussi l’histoire des Etats-Unis, avec parfois suffisamment d’éloignement pour nous rendre compte malgré tout de l’impact de décisions politiques sur la vie de jeunes américains. Le personnage de Daniel est très attachant. Mais le récit met vraiment du temps à démarrer, c’est dans la deuxième partie du roman que nous ressentons une accélération jusqu’au dénouement. Mais quelques indices parsemés ici et là, juste une phrase, nous dévoile ce que sera la fin, et j’ai été un peu déçu de ne pas avoir la surprise.
Le roman est très bien écrit et le style nous aspire facilement dès les premières pages. Dans l’ensemble, c’est un bon roman qui nous imprègne d’une atmosphère particulière, la prison et la vie des Etats-Unis pendant plusieurs décennies, mais il y a tout de même quelques défauts.

Une vraie famille – Valentin Musso

Il dit s’appeler Ludovic. Un jeune homme sans histoires… En apparence. Les Vasseur, un couple de Parisiens retirés en Bretagne à la suite d’un drame personnel, l’engagent pour quelques travaux. Le mystérieux garçon devient vite indispensable et s’immisce dans leur vie. Quand les Vasseur commencent à avoir des doutes, il est trop tard. Pourtant, la menace qui pèse sur eux n’est pas celle qu’ils imaginent…

Les Vasseur se ressourcent en Bretagne suite à un drame et font la rencontre de Ludovic. Il commence par refaire le jardin puis retape le petit appartement qui jouxte la propriété. Ludovic est un jeune homme calme et posé, simple mais mystérieux. Que cache t-il ? Le danger viendra t-il de ce jeune homme ?
Un thriller psychologique écrit avec un style très fluide, trouvant le juste milieu entre l’émotion, le descriptif et l’histoire, une sorte d’enquête dans le drame qui se lie chez les Vasseur.
Le récit prend le temps de s’installer, de présenter les personnages, de s’immiscer lentement dans leur vie, leurs craintes, leurs peurs, jusqu’à découvrir la face cachée du monstre.
Un récit un peu lent et manquant finalement de rebondissements et de surprises, un dénouement qui déçoit, peut-être un peu bâclé, trop facile. C’est dommage. Maitriser le thriller psychologique est difficile et l’auteur se situe au-dessus de la moyenne sans non plus y exceller. Cela reste un moment de lecture agréable pour un roman qui se lit très facilement.

L’esprit des morts – Andrew Taylor

lespritdesmortsLondres, 1819. Thomas Shield devient le professeur particulier d’un jeune Américain, Edgar Poe, et de son meilleur ami, Charles Frant, dont la mère, une femme séduisante et malheureuse, l’attire irrésistiblement. Lorsqu’un homme est retrouvé mort et que tous les indices convergent vers la famille Frant, Thomas est emporté dans une spirale dont les conséquences risquent d’être lourdes pour lui. Il décide alors de trouver le coupable mais le piège se referme au fur et à mesure qu’il cherche à s’en échapper. Quel est donc le lien entre ces macabres événements et le jeune Edgar Poe ? Thomas devra traverser bien des épreuves avant que la vérité soit enfin dévoilée…

Ce roman se déroule au début du XIXème siècle en Angleterre, à Londres. Nous lisons ce qui s’apparente au journal de Monsieur Shield, professeur dans une école privée où il y rencontre Charles Frant et son ami, Edgar Allan Poe. Un meurtre va mener ce jeune professeur à enquêter et à découvrir et faire remonter à la surface ce qui va chambouler la vie de millions de gens.
Ecrit dans un style très emprunté, la lecture se fait malgré tout d’une manière très fluide et passionnante. Rares sont les romans contemporains usant d’autant de tournures désuètes et de vocabulaires, et rares sont les fois où le plaisir de la lecture se retrouve dans un style aussi bien maîtrisé par l’auteur. L’écriture nous immerge rapidement dans un Angleterre brutale, à marcher dans ces rues boueuses, encombrées, puantes, aux côtés de Thomas Shield.
Le récit est bien construit et haletant. Il n’est pas une seule fois où l’ennui s’est installé durant le parcours de Shield. Une histoire bien orchestrée dans un univers qui laisse parfois rêveur mais que la réalité rattrape violemment.

L’extinction des cougars – Françoise Le Mer

extinctionNathalie Nicette, professeur de Lettres Classiques à Quimper, est une femme de quarante-sept ans, apparemment sans histoires. Veuve depuis trois années, elle vit seule, recevant de temps à autre la visite de ses deux grands enfants. Son existence, douillette mais morne, va basculer le jour où, par hasard, elle retrouve Crista, sa meilleure amie de lycée. Tout semble les séparer. Crista est délurée, joyeuse et décomplexée. Elle va entraîner une Nathalie étonnée par sa liberté de penser dans le monde festif de la nuit et l’initier aux réseaux sociaux. Mais dans l’ombre sévit un prédateur, déterminé à parvenir à ses fins, quitte au passage à se débarrasser de quelques victimes collatérales… Pourquoi la sage Nathalie intéresse-t-elle autant cette bête tapie, qui peut changer de profil autant qu’elle le veut ?

Une professeur de lettres, veuve et célibataire, retrouve une amie d’enfance qui profite de la vie, en sortant en boîte, en draguant sur les réseaux sociaux. Mais tout bascule lorsqu’un soir, alors qu’elles sont en boîtes de nuit, en train de danser, l’une de leurs amies de soirée se fait assassiner.
Le roman démarre très lentement et prend même bien son temps pour rentrer dans le vif du sujet. Bien que l’écriture soit fluide et usant d’un style facile à lire, et même, assez intéressant, le récit tends malgré tout à s’enliser dès les premières pages. L’auteur, malgré les rebondissements, reste embourbée et n’arrive pas à lancer le lecteur dans une enquête passionnante.
Le dénouement, prévisible depuis le milieu du roman, ne laisse pas le lecteur sur ses fesses. En plus d’être prévisible il manque d’originalité.
Enfin,  nous sentons que l’auteur est passionnée de son terroir et nous l’assène à chaque occasion, usant et inutile.
Un roman qui manque d’envergure, de seconde zone…
Je remercie Babelio et Palémon Editions pour ce partenariat.

Le visage de la peur – Dean Koontz

visagedelapeurUn meurtrier sévit dans les rues d’une grande américaine. Il se fait appeler le Boucher car ses victimes, de belles femmes, sont en plus d’être assassinées découpées. Mais sur le chemin du Boucher se pose Graham qui possède un don, celui de voir des événements tragiques, soit quand ils se produisent, soit quand ils vont se dérouler.
Le récit est réellement découpé en deux parties bien distinctes. La première partie nous fait découvrir les faits et les personnages. Le début de l’enquête prend forme. La deuxième partie se déroule lors d’une nuit durant laquelle Graham est poursuivi par le meurtrier.
Beaucoup de défauts ressortent de ce thriller de Dean Koontz, un auteur très instable dans son niveau littéraire malheureusement. Les deux parties sont inégales. La première devrait être plus longue, proposant une enquête plus approfondie, mais elle a été bâclée. La deuxième devrait être plus courte et plus intense. Mais sa longueur fait perdre le souffle au lecteur et l’ennui rapidement.
Un roman moyen, dans lequel, il est difficile de s’attacher aux personnages, trop de clichés, et dont le récit est mal ajusté.