Harrap’s Méthode Intégrale Anglais – Sandra Stevens

Un environnement d’apprentissage convivial qui entretient l’envie d’apprendre et garantit une assimilation sûre et progressive.

Voici une méthode très intelligente qui vous permet de progresser à l’oral de manière très progressive. L’essentiel des exercices se font grâce à l’écoute des CDs fournis avec le livre qui réunit en plus des exercices, les corrigés -oui, parfois les corrigés sont dans un autre livre ou se trouvent sur le site internet de l’éditeur-, un dictionnaire. Autant vous dire qu’avec cette méthode, vous pouvez déjà par vous familiariser avec la langue anglaise, l’intonation et la prononciation. Bien sûr, cette méthode est parfaite pour commencer à se débrouiller à l’oral, et l’écrit devra faire l’objet d’une autre méthode. En somme, pour un prix assez abordable et en préparation d’un voyage en Angleterre, la méthode reste un bon choix.

Dictionnaire des langues des hobbits, des nains, des orques – Edouard Kloczko

dicohobbits« Ash nazg durbatulûk, ash nazg gimbatul… » Pour la première fois on a osé analyser la grammaire des paroles de Sauron. « Bubhosh skai ! » Vous voulez apprendre à reconnaître la langue orque ? Dans votre tête résonne le cri de guerre du Nain Gimli, « Baruk Khazâd ! Khazâd ai-mênu ! », et vous avez toujours voulu en connaître la signification exacte ? Le  » Dictionnaire des langues des Hobbits, des Nains, des Orques  » répond à toutes ces questions et à bien d’autres. Pourquoi trouve-t-on Frodo/Frodon et Bilbo/Bilbon dans les textes français. Ou bien, pourquoi Sceadufeax, et non pas Gripoil, est le véritable nom du cheval de Gandalf, ainsi que l’origine du nom de ces chevaux, les « mearas ». Si vous voulez découvrir les innombrables langues de la Terre du Milieu, ce livre est pour vous. Il décrit en détail, avec des cartes et des schémas, non seulement la langue noire et l’écriture de Sauron, mais aussi le khuzdul des Nains, le valarin, la langue des Valar et Maiar, l’adûnaic, la langue du roi Ar-Pharazôn, et deux langues de notre Moyen-Âge – le vieil anglais avec ses runes et le gotique avec son alphabet unique – utilisées, entre autres, dans le « Seigneur des Anneaux » pour traduire la langue des Cavaliers de Rohan et celle de leurs ancêtres, les habitants du Rhovanion. Un voyage féerique.
 
Ce quatrième tome du Dictionnaire des Terres du Milieu ou de l’oeuvre de Tolkien propose au passionné l’apprentissage de la base des langues des différentes races habitant l’univers du Seigneur des Anneaux. Si vous êtes un lecteur de fantasy, et que vous avez lu Bilbo ou le SdA, ce dictionnaire ne vous sera d’aucune utilité, en revanche, si vous avez lu toute l’oeuvre de Tolkien, que vous êtes un fondu de hobbit, que vous parlez déjà l’elfe, alors ce dictionnaire est fait pour vous. Cet ouvrage a été réalisé par un passionné, et n’est à lire que par les passionnés, uniquement.
Il existe de longs chapitres ennuyeux où l’on apprend comment Tolkien a créé telle ou telle langue, et comment l’a t il fait évolué. C’est ennuyeux, d’autant que ces langues sont complétement imaginaires même si pour la plupart Tolkien a utilisé une base ayant existé.
J’ai découvert malgré tout que certains groupes de musique s’étaient inspirés pour se nommer de la Langue Noire. Je n’ai pas apprécié de la part de l’auteur d’utiliser des citations sans les traduire rendant ainsi la lecture encore plus ardue.
Un dictionnaire qui ne sert à rien, sauf peut-être pour les amateurs de grandeur nature qui jouent un nain ou un orc.