Ce neuvième tome voit la communauté de Boulder prendre des décisions difficiles. Dans le même temps Harold est approché par l’une des femmes qui se dit être la petite copine du diable, l’homme qui est l’opposé de Mère Abigail.

C’est un épisode de transition. L’histoire semble s’arrêter pour installer les bases de la suite, et nous l’imaginons assez facilement, le conflit qui s’ensuivra. C’est malgré tout une bonne continuité dans le récit même si cette phase qui permet de souffler est un cap toujours difficile de passer en bande dessinée. Les auteurs y arrivent plutôt bien.

Graphiquement, c’est identique aux albums précédents, on est dans un style américain, du comic en couleur. Je ne suis pas très fan de ce style mais le récit est là pour mettre au rang des bandes dessinées à lire cette longue saga.

Un neuvième tome paisible, bourré de révélations, mais au rythme plutôt lent. Une transition tranquille.

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