Dans cet épisode, nous sommes à Boulder où Mère Abigail et le groupe du Bien se réunissent. Mais dans cet album, l’histoire est plus centré sur Harold Lauder. Le récit est toujours aussi intéressant, prenant. Les personnages montrent toujours plus leur ambiguïté et leur complexité.

Déjà huit albums et toujours autant de plaisir à découvrir et lire cette adaptation très réussie du roman de Stephen King.

Le récit installe petit à petit tous les éléments, lentement, pour arriver au terme de cette histoire à un dénouement titanesque. Mais les auteurs de cette bande dessinée le font bien.

Graphiquement, je n’aime pas en revanche le style, très américain, très comics, pas du tout adapté à ce genre d’histoire.

Vivement le neuf…

Quatrième de couverture La population de la Terre a été décimée par un virus baptisé « Captain Trips » et développé par les militaires. Depuis la fin de la pandémie, les rares  survivants tentent de se reconstruire. Ils se distinguent en deux groupes, chacun reflété à travers la personnalité de son leader : le Bien avec Mère Abigaïl et le Mal sous le visage de Randall Flagg, plus connu sous le nom de l’Homme en Noir. Le destin de l’Humanité dépend du choix que feront ceux qui restent. Si pour certains cela semble simple et évident, pour d’autres, la limite entre les deux est très ténue…

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.