Ce deuxième tome est important. Il doit continuer dans la lancée du premier épisode pour conserver le lecteur, en adaptant le roman, mais avec un côté plus immédiat, moins dans la longueur.

Cet album nous présente l’homme sans visage, le côté fantastique de l’histoire débute vraiment ici, avec ce personnage semblable à la bête envoyée sur Terre. Tout en poursuivant l’histoire des personnages qui survivent au virus et déjà commencée dans l’album précédent.

Le virus fait des ravages, des millions de morts s’amoncellent dans les rues des Etats-Unis. Le gouvernement est dépassé, l’armée tente de rattraper le coup en éradiquant les menaces.

Le graphisme est similaire à l’album précédent, et j’imagine facilement que la série complète sera du même genre. Je ne raffole pas des couleurs, mais l’histoire est très bien adaptée et semble passionnante pour pallier à ce travail sur les couleurs qui me semble un peu facile.

A suivre donc…

Quatrième de couverture Un virus hyper-contagieux, baptisé  » Captain Trips « , s’est échappé d’un laboratoire ultra-secret de l’armée américaine. Il est la source d’une pandémie qui signe la fin de l’espèce humaine, a l’exception de quelques individus immunisés qui se trouvent liés par un seul but commun : survivre dans ce monde d’horreurs…

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